Un ami qui te voit du bien

Aut­ofic­tion vagabonde par cartes postales anonymes envoyées pen­dant qua­tre années à des adress­es triées sur le volet. La série a com­mencé pen­dant un été de canicule et s’est ter­minée par elle-même sans trop prévenir. La con­trainte que je me suis imposée fut de juste­ment ne pas me con­train­dre et de laiss­er la sur­prise et le mys­tère de l’in­spi­ra­tion men­er la série. Si cer­tains des­ti­nataires ont très vite com­pris que j’é­tais l’ex­pédi­teur, d’autres ne s’en doutent tou­jours pas.